p. 33-55
Résumé
La lecture durkheimienne de Montesquieu, dans sa thèse latine de 1892, pose un problème que la traduction de Cuvillier ne laisse pas percevoir : le passage de l’ancienne science politique, centrée exclusivement sur les modes de gouvernement, qui usurpe le nom de science, à (...)

p. 17-31
Résumé
En 1767, dans un contexte très polémique, l’abbé Octavien de Guasco livre au public les Lettres familières du président de Montesquieu. Malgré les soupçons qui pèsent sur lui, Guasco s’est révélé un éditeur plutôt fidèle. Le réseau de destinataires (...)

p. 5-15
Résumé
Il s’agit de suggérer, à partir de quelques occurrences de « gaieté » sous la plume de Montesquieu et de rares mais pénétrantes analyses, l’importance et la fécondité de cette notion pour aborder chez lui, à la fois, l’homme du monde et le théoricien de l’honnêteté comme (...)

p. 59-67

p. 87-105

p. 71-85
Résumé
À partir de l’analyse des cahiers de corrections des Lettres persanes conservés à la Bibliothèque nationale de France, est proposée une interprétation de ces documents qui permettent de reconstituer le travail de Montesquieu : le « Grand Cahier » en fournit le premier et (...)

p. 231-240

p. 123-229

p. 109-122

p. 243-247